Injections de botox pour le visage

Le traitement par injections de toxine botulique est indiqué lorsque les rides sont considérées comme dynamiques, c’est-à-dire qu’elles n’apparaissent qu’au froncement du visage et lors d’expression comme le sourire, la colère… Lorsque le patient présente des rides au repos et ce d’autant que la peau a été lésée par le soleil, le tabac, il est important pour le praticien d’insister que le Botox pourra atténuer les rides mais ne les éliminera pas. Les injections de toxine vont pouvoir contribuer à ralentir le temps qui passe et ainsi éviter l’apparition de nouvelles rides mais sans mesures de protection (écran solaire, interruption du tabac…), le ou la patiente ne peut espérer un résultat et un rendu optimum.

L’injection se passe dans le bloc médical du Centre esthétique du visage Victor Hugo. Lors de la première consultation relative à une injection de toxine botulique, le praticien fait préciser au patient ses demandes et évalue par l’observation « face to face » l’adéquation entre les souhaits du patient et les résultats que l’on peut attendre d’une telle injection. Bien évidemment, aucune injection ne se fait sans photographie statique et dynamique. La prise de photos dynamiques est réalisée à la fois par des clichés standards 2D mais aussi avec le système Vectra® qui permet d’obtenir une imagerie 3D. Les photos dynamiques dans le sourire, l’étonnement, la colère sont réalisées avec un appareil standard et ont pour objectif de visualiser les rides d’expression.

Après démaquillage, marquage des points d’injections et désinfection du visage par une solution antiseptique, le praticien injecte la toxine botulique. Le docteur Liwarek, afin de travailler avec une précision « chirurgicale », utilise le Juvapen® stylo. De nombreuses études ergonomiques ont démontré que plus la pression exercée est forte, plus la précision du geste diminue. C’est ce qu’il se passe lorsque le praticien utilise une seringue classique et déplace le piston avec son doigt. Comme les techniques d’injection demandent un geste de plus en plus précis, le docteur Liwarek utilise le Juvapen® stylo, appareil miniature motorisé sans fil permettant des micro-injections de 0,0125 ml, impossible avec une pression digitale. L’injection de toxine devient alors plus précise, quasiment indolore et permet d’accéder aux sites d’injection les plus difficiles. Rougeurs et gonflements sont réduits en comparaison avec une injection manuelle.

Elles sont peu nombreuses et constituées par les affections ou les substances qui interfèrent avec la réponse attendue à la toxine botulique. En dehors d’une hypersensibilité connue à la toxine de type A ou à l’un de des constituants du produit, l’existence d’une myasthénie ou d’un syndrome de Lambert-Eaton est une contre-indication absolue. L’infection au point d’injection est bien évidemment une contre-indication relative et impose de retarder l’injection.

Après une injection de toxine botulique, rapidement, en quelques jours, les rides d’expression du visage vont disparaître avec pour conséquence majeur un rajeunissement du visage. Toutes les expressions négatives sont « gommées » par le Botox. Le visage paraît moins fatigué, moins marqué, moins sévère, plus jeune et donc forcément plus agréable à regarder. Les rides du lion, les rides frontales, les rides de la patte d’oie vont rapidement laissées place à un front reposé, un contour des yeux moins marqué. Associée à une biorevitalisation du visage, le résultat est celui d’un réel rajeunissement. Toutefois, ce résultat n’est que temporaire. Les effets s’estompent en 4 à 6 mois selon les patients. Si lors de la première année, il faut programmer une session tous les quatre mois, les années suivantes, une injection de toxine botulique tous les 6 mois est généralement suffisante.

A partir de 370 euros selon les sites d’injection. Dans la mesure où la neuromodulation par Botox est un traitement sur mesure, le plan de traitement proposé par le docteur Liwarek permet d’obtenir un résultat naturel et harmonieux.